
Dans une chronique pour Québec Matin, Richard Martineau a pété sa coche contre le système de justice québécois.
C'est apprendre qu'un Montréalais puisse purger sa peine de prison chez lui alors qu'il a agressé sexuellement un mineur qui l’a rendu hors de lui.
« Il va purger sa peine à la maison. On dit que c’est parce qu’il a suivi une thérapie à la maison. Attends une minute! C’est sûr que la personne qui a le choix entre suivre une thérapie et aller en prison, elle va suivre une thérapie! », déplore le chroniqueur.
« En plus, il dit qu’il ne savait pas qu’il était mineur et qu’il souffrait de déficience intellectuelle. Ça, c’est une sacrée bonne excuse! », s'insurge Richard Martineau.
Rappelons que Victor Descôtes, âgé de 64 ans, a fait des attouchements sous les vêtements d'un jeune de 17 ans atteint de déficience intellectuelle au parc Angrignon alors qu'il lui avait fait bien comprendre qu'il n'était pas consentant.
« Comment se fait-il que l’on n’envoie pas les pédophiles en prison? C’est incroyable! », lance-t-il l'air désabusé.
« Moi, j’en ai déjà purgé une peine à la maison de deux ans avec la pandémie! Pis, je n’avais rien fait!», ironise Richard Martineau.
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