Richard Martineau s'emballe concernant les avertissements sur les cigarettes

Dans quelques semaines, toutes les cigarettes devront porter un avertissement

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Publié il y a 3 mois
Richard Martineau s'emballe concernant les avertissements sur les cigarettes
Capture d'écran QUB

Le chroniqueur Richard Martineau ne croit visiblement pas à la nouvelle tactique du gouvernement fédéral qui consiste à inscrire sur les cigarettes individuelles dès le 1er août un avertissement sur les risques de maladie associés à leur consommation.

Alors que les paquets de cigarettes portent déjà des avis très graphiques qui ont pour but de dissuader les gens de fumer, voilà que le gouvernement fédéral passe maintenant en seconde vitesse avec cette nouvelle inscription qui se trouvera sur chaque cigarette individuelle.

Richard Martineau n'a pas hésité à qualifier cette stratégie comme étant un simple «écran de fumée».

En effet, le chroniqueur a déclaré sur les ondes de LCN: «Le gars qui prend son paquet de cigarettes, il voit la photo de la grosse langue avec les pustules dessus, il voit la photo du trou dans la gorge... mais non. Juste avant d’allumer, il va prendre sa cigarette et il va se demander "coudonc, qu’est-ce qui est écrit? La cigarette cause le cancer? Ah ben mon Dieu! Pense que je vais arrêter de fumer, moi là...".»

Le chroniqueur a ajouté de façon très ironique que le gouvernement fédéral gagnerait à essayer des stratégies encore plus loufoques: «Faut aller plus loin! Quand t’expires la fumée, faut faire en sorte que ça fasse une tête de mort en boucane! Écoute, j’écrirai sur chaque (croustille) "Attention, ceci n’est pas bon!" et chaque frite, quand tu vas chez McDo, Burger King, Harvey’s, on devrait l’écrire.»

Enfin, selon Richard Martineau, la société en ait beaucoup trop lorsqu'il est question de mises en garde: «Tu t’en vas dans un musée voir une exposition de Picasso... "attention, Picasso était une mauvaise personne, il n’était pas correct avec les femmes"... Pouvez-vous nous sacrer patience? Nous sacrer la paix? Pouvez-vous, s’il vous plait? Est-ce que ça va vraiment faire une différence? Je suis convaincu que non, mais bref...»