Un enfant de 2 ans qui a grandi dans un logement insalubre meurt tragiquement

Le petit garçon est décédé dans des circonstances atroces

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Publié il y a 1 an
Un enfant de 2 ans qui a grandi dans un logement insalubre meurt tragiquement
Capture d'écran vidéo YouTube

Un enfant de 2 ans qui a grandi dans un logement insalubre est mort tragiquement, rapporte TVA Nouvelles.

Selon les conclusions de la coroner Joanne Kearsley, le petit Awaab Ishak est décédé « à la suite d'une grave affection respiratoire due à une exposition prolongée à des moisissures dans son lieu de résidence ».

Une mort tragique qui a eu lieu en décembre 2020.

Un enfant de 2 ans qui a grandi dans un logement insalubre meurt tragiquement
Crédit photo: Capture d'écran vidéo YouTube

Toujours selon le coroner, « aucune mesure n'a été prise pour traiter et prévenir la moisissure ». Joanne Kearsley a ajouté que « son état respiratoire a conduit à un arrêt respiratoire » suivi d'un arrêt cardiaque.

Pourtant, Faisal Abdullah, le père du petit Awaab Ishak, s'était plaint plusieurs fois auprès du Rochdale Boroughwide Housing (RBH), l'association qui gérait la location de l'appartement en question. Une première plainte avait été formulée en 2017, précise TVA Nouvelles. Toutefois, on lui avait seulement recommandé de mettre de la peinture sur les moisissures.

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Crédit photo: Capture d'écran vidéo YouTube
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« Nous ne pouvons pas dire devant combien de professionnels de la santé nous avons pleuré et combien d'employés de RBH nous avons suppliés, exprimant notre inquiétude sur les conditions dans lesquelles nous et Awaab vivions », a fait savoir la famille dans un communiqué. « Nous avons crié aussi fort que nous l'avons pu », peut-on lire également.

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D'après la coroner, ce sont les « activités normales de la vie quotidienne » et une absence de ventilation efficace qui ont provoqué les moisissures. « Aucune mesure n'a été prise, et de juillet 2020 à décembre 2020 Awaab a continué d'avoir une exposition chronique à des moisissures nocives », a souligné la coroner.

« Nous devons nous assurer que cela ne puisse plus jamais se reproduire », a indiqué Gareth Swarbrick, le directeur de l'association qui gérait la location de l'appartement en question.