La vedette de Rocky IV, Dolph Lundgren annonce qu'il est atteint d'un cancer.

Le célèbre acteur a révélé qu'il lui restait peu de temps à vivre

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Publié il y a 10 mois
La vedette de Rocky IV, Dolph Lundgren annonce qu'il est atteint d'un cancer.
Capture d'écran @GrahamBensinger.

Le comédien Dolph Lundgren, que le public avait connu grâce à son rôle dans le film «Rocky IV», a révélé qu'il ne lui restait plus que deux ou trois ans à vivre en raison d'un cancer.

C'est en 2020 que Dolph Lundgren a appris qu'il ne lui restait seulement que quelques années à vivre.

Lors d'une entrevue à l'émission américaine In Depth, le comédien a expliqué qu'en réalité, il se battait contre ce cancer depuis 2015, année où les médecins lui avaient retiré une première tumeur: «J’apprécie simplement la chance d’être en vie. [...] J’ai eu une vie formidable. J’ai vécu cinq vies en une. Je ne me suis pas senti amer, j’avais juste de la peine pour mes enfants et ma fiancée [Emma Krokdal]. »

Alors qu'en 2015, le comédien avait souffert d'une tumeur au rein, c'est après avoir remarqué «une sorte de flux acide» qu'il a consulté en 2020. Une IRM a ensuite permis aux médecins de découvrir «une autre tumeur dans le foie de la taille d’un petit citron ».

Puisque le cancer s'est ensuite propagé à ses poumons, sa colonne vertébrale et son estomac, l'interprète d'Ivan Drago se fait peu d'illusions quant aux années qu'il lui reste à profiter de la vie: «Combien de temps pensez-vous qu’il me reste ? Le médecin a dit quelque chose comme deux ou trois ans. Mais je pouvais entendre dans sa voix qu’il pensait probablement que c’était moins.»

Dolph Lundgren reconnaît que sa prise de stéroïdes dans les années 1980 et 90 n'a certainement pas aidé à sa situation: «On s’en veut dans une certaine mesure. J’ai arrêté d’en prendre quand j’ai arrêté de faire des films où j’enlevais mon haut à chaque scène.»

Enfin, le comédien a de très bonnes raisons de continuer à s'accrocher la vie, car ses tumeurs ont diminué de près de 90 %. Dolph Lundgren a même confié espérer «que les médicaments que je prends vont supprimer tout le reste [...] dans les semaines ou mois à venir ».

Source: Le Parisien